Élodie.

« Elle m’ouvre la porte. Je l’embrasse tendrement, sans la langue. Son chien me saute dessus. Il me baise la jambe. J’adore. Je lui caresse le haut du crâne avant d’enlever mon manteau tout trempé. J’ai marché une bonne vingtaine de minutes, sous la flotte, avant d’arriver jusqu’à chez elle. Mais je n’aurais raté ça pour rien au monde. J’ôte mes chaussures et pose mes fesses sur le canapé. Élodie est dans la cuisine. Elle dit qu’elle a faim. Je m’en branle. La seule chose que je veux bouffer c’est elle. Cela faisait maintenant trois mois que je n’ai pas caresser une chatte.

Elle revient dans le salon, un plateau à la main. Elle commence à manger pendant que je lui caresse le dos. Elle frétille. De temps à autres, j’approche mes lèvres de son coup et lui adresse quelques petits baisers. Aussitôt son assiette terminée, je la prend violemment par le bras pour la retourner vers moi. Je l’embrasse fortement. Je commence à la déshabiller. Son soutif était plutôt facile à retirer. J’embrasse sa petite poitrine insignifiante. Je recule pour l’admirer. Elle cache ses petits tétons, timidement.

Je la prend par la main, je l’emmène jusqu’à son lit. Je la jette dessus avec un soupçon de violence. Elle sourit. Elle aime ça. Je lui retire son jean. Elle éteint la lumière. Décidément, on dansera sous les douces lumières de la télé. Je me met sur elle. Elle croise ses jambes autour de moi. Elle pose ses mains sur mes joues et m’embrasse de manière innocente. Je lui caresse son con caché sous sa culotte avec le bas de mon ventre. Je retire mon jean. Je jette mon caleçon par terre et me saisi d’un préservatif. Il faut toujours sortir couvert, les jours de pluie.

Je décale sa petite culotte pour tâter la température. On se croirait en équateur. Chaud et humide.
– C’est tout mouillé, lui dis-je.
– C’est normal. Je mouille toujours beaucoup.
Si j’avais eu un euro à chaque fois qu’une fille me disait ça pour se justifier, j’aurais eu trois euros aujourd’hui.

Je lui retire sa culotte et enfonce ma queue profondément. Elle gémit fortement. Son chien riposte en aboyant. « Ta gueule ! » Ai-je crié. Élodie se fâche. Personne ne doit parler ainsi à son chéri. Je lui donne un coup de rein brutal, qui lui fait changer de tête. Je rapproche ma bouche de son oreille et lui murmure « Ta gueule toi aussi » avec un sourire satisfait sur mon visage. »

 Les filles qui parlent beaucoup de sexe avant l’acte sont de piètres baiseuses.

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